Ce que vous ressentez demande d’être entendu Il contient des choses qu’on conserve en soi infiniment longtemps. Des sentiment. Des méfiances. Des données qu’on ne parvient pas à revêtir en mots, mais qui nous suivent au quotidien. On n’ose pas nettement en détailler. On attend. On repousse. Et puis une occasion, on se dit qu’il sera
Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa ciboule Émilie avait très public déclencher physionomie. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une limite, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en charge. Qui gèrent. M
Isabelle, 50 ans, et la question qu’elle ne savait plus duquel ajuster Rien ne clochait effectivement dans la vie d’Isabelle. Du moins, rien qu’on soit à même de appréhender de l’extérieur. Elle vivait seule, par choix. Elle avait ses traditions, son boulot auquel mi-temps dans une librairie, ses assemblée réguliers chez le kiné, ses
Benoît, 39 ans, et l’écho inattendu d’une voyance gratuite Benoît n’en parlait à individu, mais pendant plusieurs mois, il se sentait à proximité de sa spéciale vie. Tout fonctionnait : son activité de graphiste indépendant marchait bien, ses amis étaient construits, sa famille n’était pas envahissante. Et toutefois, il se révei
David, 51 ans, et le déclic qu’il n’attendait plus David ne parlait jamais de ce qu’il ressentait. Ce n’était pas dans sa conscience, ni dans ses rituels. Il avait été élevé dans l’idée qu’un espèce humaine devait “tenir”, “gérer”, “avancer”. Alors il avait geste par exemple tout le monde. Il avait travaillé immuab